La capitale ghanéenne, Accra, et d’autres villes côtières ouest africaines sont dans le viseur des terroristes. Ces derniers planifieraient de frapper Accra, Cotonou, Lagos et Abidjan.
Cette information a été révélée lors d’un atelier de formation à la consolidation de la paix dans la région de l’Upper East au Ghana par le Conseil National de la Paix (NPC) en collaboration avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
La formation vise à prévenir toute attaque terroriste transfrontalière au Ghana, un pays voisin du Burkina Faso, qui connait des attaques de groupes armés mais aussi à sensibiliser les participants à coopérer afin de prévenir la violence sous toutes ses formes
Selon le Secrétaire du NPC de la région de l’Upper East, Ali Anankpieng, qui s’est confié à Paga a un correspondant de la radio Starr fm à Accra, des informations collectées font état de ce que les terroristes ont l’intention d’arriver sur les côtes de l’Afrique de l’Ouest plus précisément dans des villes comme Accra, Cotonou, Lagos, Abidjan. Bien avant cette réunion, une information interne de la police avait révélé des projets d’attaques transfrontalières par des bandits étrangers armés.
Quant à la représentante résidente du PNUD au Ghana, Dr Angela Lusigi, elle a salué le Ghana comme un « phare de paix » en Afrique, un gage qui a consolidé sa démocratie et son développement. Elle a néanmoins relevé que la sérénité dans le pays a fait l’objet d’un certain nombre de menaces comme des conflits fonciers, de chefferie et crimes violents.
Les causes latentes qui pourraient servir de prétexte aux attaques terroristes résident dans la croissance de la population jeune, les conflits fonciers, les problèmes de chefferie mais aussi des questions d’identité ethnique. Afin de trouver des solutions à temps à ces préoccupations, le NPC propose le recours au dialogue pour résoudre les conflits aussi pour faire prendre conscience aux populations. l’intention d’arriver sur les côtes de l’Afrique de l’Ouest plus précisément dans des villes comme Accra, Cotonou, Lagos, Abidjan. Bien avant cette réunion, une information interne de la police avait révélé des projets d’attaques transfrontalières par des bandits étrangers armés.
Quant à la représentante résidente du PNUD au Ghana, Dr Angela Lusigi, elle a salué le Ghana comme un « phare de paix » en Afrique, un gage qui a consolidé sa démocratie et son développement. Elle a néanmoins relevé que la sérénité dans le pays a fait l’objet d’un certain nombre de menaces comme des conflits fonciers, de chefferie et crimes violents.
Les causes latentes qui pourraient servir de prétexte aux attaques terroristes résident dans la croissance de la population jeune, les conflits fonciers, les problèmes de chefferie mais aussi des questions d’identité ethnique. Afin de trouver des solutions à temps à ces préoccupations, le NPC propose le recours au dialogue pour résoudre les conflits aussi pour faire prendre conscience aux populations.
Source: koaci.com
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